• Au petit matin, direction Villa de Leyva, très jolie ville coloniale. Classée monument national en 1954, sa grande place ainsi que toutes ses rues sont pavées de grosses pierres. Tout le tour, des montagnes se dressent aux portes de la ville. Le paysage devient enfin intéressant.

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    Il reste quelques anciens bus avec l'habitacle en bois

     

    Après Villa de Leyva, nous nous arrêtons pour manger sur la place du village de Cucaita, au pied des montagnes que nous allons grimper. Et là, surprise... la statue d'un champion colombien qui à gagné le Dauphiné libéré !

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

     

    L'après midi, nous partons en direction de Tunja, par une route avec de très beaux points de vue. Cette ville est la plus haute de Colombie. Nous n'avons pas besoin de vous décrire le dénivelé... A une dizaine de km du sommet, Sylvie ne peut plus rouler. Par chance, un gros camion chargé de graviers nous invite à nous rapprocher. Nous ne nous ferons pas prier !

    Tunja est la ville préférée de la population de Bogota. La ville historique subsiste, hélas enfouie sous les constructions modernes d'un gout incertain.

    Le climat y est frais de type alpin (2800m d'altitude).

     

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De Villa de Leyva à Tunja

    La douche à Cloclo

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De villa de Leyva à Tunja

    De nombreuses variétés de pomme de terre

    De villa de Leyva à Tunja

    Et des vitamines pour le départ de Tunja

     


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  • De Susa, direction Chiquinquira par une succession de montagnes russes, une grande descente en ligne droite où le compteur affiche 71 km/h. Nous arrivons enfin dans cette jolie ville située en haute altitude. Son nom signifie en langue indigène : couvert de nuages.

    Nous la visitons et continuons jusqu'à Raquira, la ville renommée pour ses poteries et ses façades colorées. Nous stoppons à 70 km car Sylvie prend mal au genou. Nous décidons de chercher un endroit pour camper, la première ferme fera l'affaire.

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    Chiquinquira 

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    Raquira et ses potiers

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    De chiquinquira à Villa de Leyva en passant par Raquira

    Bivouac près d'une ferme

     

     


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  • Au beau milieu des gros 4x4 et des belles voitures récentes se mêlent des reliques de l'ère espagnole

    Pour les nostalgiques de voitures anciennes

    Pour les nostalgiques de voitures anciennes

    Pour les nostalgiques de voitures anciennes


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  • Aprés des adieux très chaleureux, nous partons par une route pas très agréable. Enormément de circulation, il faut surtout se méfier des bus, des camions et des attaques de chiens assez courantes, nous n'en avons jamais vus autant qu'en Colombie.

    Depuis notre départ, nous sommes assez déçus par le paysage. Seul les nombreux contrôles de police nous rappellent où nous sommes.

    Une bonne partie de la matinée, nous grimpons du 6 % pour enfin s'éclater dans une belle descente où nous prenons 60 km/h. Enormément de fabriques de briques avec des fours au charbon nous en mettent plein les narines, mêlé aux accélérations des camions.

    D'immenses mines de charbon en cours d'extraction, le paysage s'améliore ensuite petit à petit. Au bord de la route, des vendeurs de paniers tressés de toute sorte. Nous traversons un village en fête, une course de camions qui doivent passer le plus vite possible à travers des quilles et tout ça, en marche arrière, avec de grands coups de klaxons à l'arrivée.

    Nous décidons de stopper notre étape de bonne heure car nous avons déjà 83 km dans les jambes. Nous arrivons au village de Susa où nous montons la tente entre une église et une école.

    Une famille de 12 enfants viennent nous apporter le café tiento, spécialité locale.

    Les colombiens n'invitent pas facilement. Ils restent très discrets au départ, nous épient et nous adoptent par la suite.

    Nous mangeons sur le perron de l'église. Tout à coup, un bruit fracassant : un 4x4 vient de descendre une pente abrupte, sans chauffeur, pour s'exploser contre le mur d'une habitation !

    Plus tard, les habitants de la maison la plus proche - qui nous observaient discrètement depuis un bon moment - sortent deux gros hauts parleurs et allument un grand feu en plein milieu de la rue. Ils s'approchent de nous timidement. Ce sera ensuite distribution de chamalos pour les faire griller et puis faire chauffer une grande marmite d'eau chaude sucrée qu'ils mélangent à une espèce de liqueur d'anis à même le verre, c'est un peu l'apéro local.

    Nous passerons une super soirée avec des cours de diverses danses locales

     

    De Zipaquira à Chiquinquira

    Attention au départ !

    Ambiance assurée

    Gymkhana en Marche arrière

    De Zipaquira à Chiquinquira

    De Zipaquira à Chiquinquira

    De Zipaquira à Chiquinquira

    De Zipaquira à Chiquinquira

    De Zipaquira à Chiquinquira

    De Zipaquira à Chiquinquira

    De Zipaquira à Chiquinquira

    Fiesta improvisée

    De Zipaquira à Chiquinquira

     

     


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  •   

    De Bogota à Zipaquira

     Vue sur Bogota de notre ascension ,la route sur la gauche

    Zipaquira est à 59 km par la voie rapide mais nous ferons un détour par Guasca.

    Après la traversée de la ville, nous attaquons un gros dénivelé, les Colombiens adorent le vélo et nous croisons de nombreux cyclistes.

     

    De Bogota à Zipaquira

    Malheureusement, dès le premier kilomètre, les ennuis mécaniques commencent par un problème de dérailleur. Réglage provisoire et c'est reparti, nous passons de 2600 m à 3050 m en 7 km. Nous ne sommes pas fort en maths mais libre à ceux qui veulent calculer le pourcentage en équation avec le manque d'oxygène !

    En haut du col, une grande station où nous pouvons faire le plein d'essence. Mais non, pas des vélos... mais de notre réchaud ! Trouvez chez nous un pompiste qui accepte de vous remplir 1/2 l.

    En haut, il fait assez frais ; et nous partons pour une descente assez hard pour arriver autour des 2050 m pour trouver ensuite du faux plat. Au bord de la route, des estancias de partout (énormes élevages de bovins et chevaux).

    Début d'inflammation au genou. Nous décidons de faire une petite étape et de chercher un endroit pour camper. Impossible, tout est clos et propriétés privées de partout. Nous testons donc l'accueil Colombien en nous incrustant dans les propriétés, souvent reçus par une meute de chiens et nous essuyons 4 refus. Tous nous disent que c'est interdit et dangereux.

    Nous finissons par des pistes pour nous retrouver à Zipaquira. Notre petite étape s'est terminée au bout de 82 km.

    Grâce au blog d'un cyclo voyageur, nous avons testé l'idée de squatter chez les pompiers, et là tout se fait assez vite. Après l'acceptation du capitaine, tout se déroule pour le mieux. Super accueil, ils nous laissent même les lits superposés où ils se reposent pendant leurs gardes. J'ai pu réparer mon vélo, la patte du dérailleur avait été tordue dans l'avion. Nous négocions une deuxième nuit en échange d'une crêpe partie.

    La ville coloniale est superbe. Ce qui en fait sont originalité : sa cathédrale de sel mondialement connue.

     

    De Bogota à Zipaquira

    Accueil chez les Bomberos

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    Visite de la cathédrale de sel

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

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    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    De Bogota à Zipaquira

    Les adieux au capitaine Jose Miguel, Mayerly, Jaime, Diego Fabian, Felipe, Carlos

     

     


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