• Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

    Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

    Dénivelés extrêmes

    Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

     

    Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

    Avocats extrêmes aussi !

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     Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

    Petit tour dans la jungle pour rejoindre une cascade de 180m de haut

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    Pour Alexandra, peux-tu leur envoyer quelques cordes d'escalade ?

    Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

    Petite pose à San Gil le rendez vous des sports extrêmes et des rues au dénivellé de fous

    Nous avons retrouvé Tarzan et Jane !

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    Un peu de relaxation

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    Ce mardi matin, nous allons faire du rafting pour se donner un peu d'adrénaline avec Perrine et Martin, un jeune couple de Lille, qui sont au terme de 6 mois de voyage en Amérique du sud.

    La région comporte un des meilleurs sites au monde sur le Rio Fonce pour pratiquer ce sport. Nous nous contenterons d'un site plus cool pour ne pas se casser un genou avant le départ demain.

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    L'eau, ça donne faim ! (Perrine et Martin)

    L'après midi, visite d'une des plus belle villes du Santander : BARICHARA, perchée sur une falaise dominant la vallée du Rio Suarez. Elle a été classée monument national en 1975 pour sa remarquable architecture coloniale. Plusieurs feuilletons colombiens y ont été tournés.

     

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Travail de forçat pour réparer les rues

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Tuc-Tuc très coloré

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Dans ce village et toute la région du Santander, vous pouvez déguster les fourmis géantes à gros cul, grillées et salées comme des cacahuètes !

     

    Petite pause à San Gil, le rendez-vous des sports extrêmes

    Demain, nous démontons une nouvelle fois la tente pour nous rendre au parc national de CHICAMOCHA, en direction de BUCARAMANGA. Ici se trouve un canyon plus profond que le grand canyon d'Arizona, 2000 m contre 1600 m. Le début du parcours s'avère très physique.

     

     


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  • Vous ne verrez pas de photos du rafting car le prix de celles-ci était plus élevé que celui de la prestation.

    De San Gil au campement dans le Canyon

    Les adieux aux amis du camping

    De gauche à droite, après Sylvie : un Stéphanois qui remonte d'Argentine à vélo et qui l'a laissé pour quelques temps au sud de la Colombie avant de remonter jusqu'aux Etats unis, à côté de lui une copine qui est venue le rejoindre, ensuite un jeune couple de Chti qui visitent depuis 6 mois l'Amérique du sud et le meilleur à droite un comédien Belge qui est tout le contraire d'un sportif et qui essaie tous les sports extrêmes. Pour le rafting, il a fait le plus hard et il a décidé de ne pas ramer, il a fait une bonne partie à l'envers et à la vue des vidéos nous étions tous morts de rire !

    Nous quittons San Gil en poussant les vélos par des ruelles dépassant les 30 % pour monter au plus haut point de la ville afin de rejoindre la grande route. Sur le passage, nous visitons une salle de sport !

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    Coucou amical à nos amis de Rivforme

    Nous grimperons de 1000 à 2000 mètres en 25 km. Tout à coup, au bord de la route, nous apercevons un vélo avec des espèces de sacoches à l'arrière. Il nous fait de grands signes, nous nous approchons et faisons connaissance.

    C'est un jeune Colombien de 19 ans, Juan David, futur prof d'EPS qui est parti de Bogota en direction de Santa Marta, leur Côte d'Azur. Il est très content de rouler avec nous et nous nous retrouvons vite avec des bracelets porte chance autour du bras.

    A l'arrière de ses sacoches, un bois enroulé comme une liane. Nous apprendrons ensuite que c'est aussi un porte bonheur ! Lorsque vous dormez à côté, les bons rêves se réalisent.

    De San Gil au campement dans le Canyon

    Nous arrivons à l'entrée du parc de Chicamocha, où nous prenons l'un des plus grands téléphériques au monde, couvrant une distance de 6,3 km ! Nous sommes assez déçus du spectacle, nous avons eu de plus belles perspectives du canyon depuis nos vélos...

    De San Gil au campement dans le Canyon

    Entrée du parc de Chicamocha

    Aucune des vues ci-dessous n'ont été prises du téléphérique, mais simplement de nos vélos !

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

     De San Gil au campement dans le Canyon

     De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    De San Gil au campement dans le Canyon

    Après les superbes descentes, nous retrouvons du faux plat qui nous casse les jambes et de nouveau des montées épuisantes. Le jeune nous propose de venir dormir vers sa famille, à une trentaine de km. Mais vu notre état de fatigue à tous les trois nous lui disons que ce n'est pas raisonnable car la nuit va tomber. Nous trouvons, non sans mal, un endroit plat pour bivouaquer, entre la route et une rivière qui nous servira de salle de bain.

    De San Gil au campement dans le Canyon

    Notre baignoire

     

    Le seul hic, le repas... Nous avons toujours une petite réserve en secours mais à midi, nous avons déjà mangé à trois sur notre provision et, ce soir, ce sera une petite soupe à partager entre nous... ça fait léger pour pédaler le lendemain.

    Juan est très gentil et sa mère l'appelle souvent sur son portable, elle est très rassurée qu'il ne soit plus seul pour rouler.

    Le lendemain, une montée qui dépasse parfois les 10 %. Nous sommes K.O. et je m'aperçois que j'ai perdu mes lunettes de soleil en prenant une photo quelques km plus bas.

    Alors que nous réfléchissons, Juan part comme un fou en courant jusqu'en bas et remonte avec mes lunettes sur ses yeux, très fier de lui ! Nous le traitons de "loco" (fou).

    Lorsque nous arrivons à la bifurcation où réside sa famille, nous décidons de ne pas le suivre car ça nous fait faire un détour et ici, ce n'est pas rien.

    Les adieux émouvants et nous continuons jusqu'au dessus de Bucaramangua car cette grande ville ne nous inspire pas du tout.

    Nous nous retrouverons, ce soir là, à camper vers un ferrailleur. Toute la nuit, des bruits d'usine et de hauts parleurs à tue-tête... tout cela entourés de 3 ou 4 chiens.

    Le matin, le gardien du site se fait arracher les deux mains par un chien alors qu'il voulait les séparer. Les morsures sont très vilaines et Sylvie joue à l'infirmière et lui conseille de ne pas rester comme ça. Le seul hic, c'est qu'ici, les soins ne sont pas gratuits.

    Il ira finalement se faire recoudre

     


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  • Toujours des montées et descentes cassantes, un paysage de jungle que nous apprécions difficilement à cause des énormes camions avec lesquels il faut jouer au chat et à la souris. Heureusement, il y a souvent une bordure réservée aux deux roues mais pleine de bouts de pare-brise ou ferraille. Toujours d'immenses élevages qui empiètent sur la forêt en déplaçant des populations.

    Tout du long des barrières, pour l'instant nous avons l'impression que la Colombie est un grand parc

    Il fait de plus en plus chaud... Dès le matin, le thermomètre de mon compteur affiche 29° et au plus fort de la journée 39/40°. Nous raccourcissons donc nos étapes.

    A midi, nous voyons un grand campement en bordure de route. C'est une opération d'envergure de reboisement. Il y a des tentes réfectoire, pharmacie d'urgence, maitres d'oeuvre etc... Nous leur demandons de partager leur table pour manger à l'ombre.

     

    De Giron direction San Juan

    De Giron direction San Juan

     

    Nous dormirons cette fois-ci entre un village et son fleuve, au pied d'un grand bambou. A côté de notre tente, un gros trou dans la terre et une tête à l'intérieur... comme un énorme serpent. Nous apprendrons, plus tard, que c'est un iguane. Ouf ! Nous en avons vu plusieurs l'autre jour au rafting.

     De Giron direction San Juan

     De Giron direction San Juan

     De Giron direction San Juan

    De Giron direction San Juan

    La police veille de partout

    De Giron direction San Juan

    De Giron direction San Juan

     De Giron direction San Juan

    Nouveaux paysages en bordure de route

    De Giron direction San Juan

    Nos pires ennemis

    De Giron direction San Juan

    De Giron direction San Juan

    De Giron direction San Juan

    Là aussi... des menteurs ! Ils veulent faire croire qu'ils vont oeuvrer pour le peuple alors qu'ils dépensent déjà une fortune en pub !

    De Giron direction San Juan


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  • Toujours très chaud mais parcours moins physique. Nous dormirons deux fois dans des petits hôtels, pour profiter d'une bonne douche et se requinquer un peu, car ce climat amazonien n'est pas propice au camping : chaleur, hygrométrie maxi et bébêtes qui vous piquent.

    Une technique que nous avons appris ici et qui vaut mieux que toutes les pommades spéciales démangeaisons : frotter du savon sec sur les piqûres.

    Dans les chambres, il y a même quelques sangsues.

    Un perroquet qui ne parle que l'Espagnol (normal), une tortue qui ne parle pas (normal aussi) !

     

    Direction San Juan -Puerto Araujo

    Même dans l'oreille... comprend pas !

    Direction San Juan -Puerto Araujo

    Direction San Juan -Puerto Araujo

    Direction San Juan -Puerto Araujo

    Direction San Juan -Puerto Araujo

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Les petites bêtes aiment les jambes de Sylvie

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Surprise... ils en ont aussi !

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Avant

     

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Après

     

    A quoi ça sert les frigos ? Ici, 40° et 80 % d'hygrométrie et ça se garde !

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

     Au fait, nous avons retrouvé l'arbre du voyageur

    Aujourd'hui, nous frisons les 800 km. Et, nous venons enfin de parcourir une route sans les gros camions infernaux. Nous avons vu et entendu pas mal d'oiseaux : canaris, ménates, perruches, perroquets, etc...

     

    Sur la route de Puerto Berrio

     Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Termitière

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Dans la ville

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Incroyable ! Les nouveaux TGV, une moto pour faire avancer des wagons de voyageurs !

    Direction San Juan -Puerto Berrio

    Direction San Juan - Puerto Berrio

    Ne cherchez plus les hirondelles, elles sont toutes ici !

     Nous avons sacrifié cette journée pour mettre à jour ce que vous êtes en train de lire. Demain, nous partons direction Medellin et risquons de vous laisser pas mal de jours sans nouvelles car nous regrimpons dans la deuxième cordillère et il va certainement nous falloir pas mal de temps...

    Le soir, dans toutes les villes, la musique est de mise. Chaque bar, restaurant ou tout autre commerce a d'énormes hauts parleurs et c'est à celui qui met sa musique la plus forte, ça donne vraiment une ambiance unique !

     

     


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  • Nous passons de 250 m d'altitude à 1000 m avec certaines parties à plus de 9 % mais une route beaucoup plus calme car les gros camions ne la prennent pas.

    Nous apprécions ces moments de tranquillité, nous voyons beaucoup d'oiseaux. Mais nous nous rendons compte de plus en plus de l'emprise de tous ces gros élevages de bovins sur la jungle jusqu'au plus haut des sommets.

    Des montagnes entières ont été mise à nu. Nous nous imaginons ce que devait être le paysage avant. Ces grandes haciendas, avec des villas superbes ont l'air d'avoir le monopole. Mais le retour de la médaille se fait ressentir : l'érosion et les glissements de terrains se remarquent tout le long de notre parcours.

     

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    Le paysage avant

     

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    La partie arrière n'en a pas pour longtemps...

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    Voici ce qu'il reste des années plus tard

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    Termitière

    De Puerto Berrio à San José del Nus

     Une grande bosse et ensuite, une descente à pic nous emmène au village de San José, où nous trouvons à camper vers une Hacienda avec possibilité de se doucher et d'avoir la chance de prendre nos repas sur l'eau grâce à l'ingéniosité du patron.

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    Sylvie et Ange

     

    De Puerto Berrio à San José del Nus

    Nous avons bien dormi car les nuits sont plus fraîches en altitude. Par contre, les fourmis sont très agressives et des crapauds géants viennent nous tenir compagnie


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